Fonction publique
- Vision RH, Veille RH DGAFP Mars 2022
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RESUME : Dans le cadre général,de l’organisation des examens, une MIREX assure l’entière gestion des examens sur son territoire de compétence, selon le principe du guichet unique. La gestion des BTSA et des examens à organisation complexe nécessite de mettre en œuvre une coordination nationale. Dans ces cas particuliers, la création des MIREX permet de concilier les deux aspects liés au guichet unique tout en assurant cette coordination nationale. Cette instruction va s’attacher à décrire l’organisation des MIREX dans 1) le cas général 2) le cas particulier des examens à organisation complexe, 3) le cas particulier de l’examen du BTSA.
MOTIF DE LA RECTIFICATION : Annexe 3 : Suppression de la référence C6.3 dans les dernières lignes du tableau. Annexe 8 : Complétude du titre de l’annexe
RESUME : Fixation du nombre de places offertes au concours interne de recrutement d’élèves ingénieurs de l’agriculture et de l’environnement au titre de l’année 2022. Contact pour toutes questions sur ce concours : Bureau des concours et des examens professionnels Suivi par : Annie KOUTOUAN Téléphone : 01 49 55 47 91 Mél : annie.koutouan@agriculture.gouv.fr
Au 31 décembre 2020, 7 % des agents titulaires civils des ministères étaient en position de mobilité. Une proportion « stable » par rapport à 2019, explique la direction générale de l’administration et de la fonction publique (DGAFP) dans une note. Le détachement est toujours la position « la plus fréquente » de mobilité. Favoriser les mobilités des agents publics, c’était l’un des objectifs de la loi de transformation de la fonction publique du 6 août 2019. Les effets du texte se font néanmoins encore attendre, comme en attestent les dernières données relatives à la part des agents de ministères en position de mobilité. Au 31 décembre 2020, 7 % des titulaires civils des ministères étaient ainsi en position de mobilité, soit quelque 108 400 agents. Une proportion « stable » par rapport à 2019, explique la direction générale de l’administration et de la fonction publique (DGAFP) dans une note publiée le 24 mars [cliquez ici pour la consulter].
Les deux ministères ayant la part la plus élevée d’agents en position de mobilité sont ceux de l’Agriculture et de la Transition écologique (respectivement 33 % et 29 %). Suivent le ministère de la Culture et Matignon (16 % chacun), puis les ministères sociaux et le Quai d’Orsay (12 % chacun également). La part d’agents en mobilité tombe en revanche à 6 % aux Armées, à l’Éducation nationale ou à la Justice et à 5 % à Bercy. Tout en bas du tableau, l’Intérieur, dont 3 % des agents seulement sont en position de mobilité
https://acteurspublics.fr/articles/la-mobilite-patine-dans-les-ministeres
Depuis plusieurs années, les familles réclamaient justice pour leurs proches décédés de la maladie de Creutzfeldt-Jakob (la maladie de la vache folle) après avoir manipulé des agents pathogènes.Cela pourrait signifier la fin d’un calvaire de près de dix ans. L’Inrae a reconnu que ses deux salariées décédées de la maladie de Creutzfeldt-Jakob, en 2019 et 2021, avaient probablement été contaminées par accident de laboratoire de recherche sur les prions (agents pathogènes), ouvrant ainsi la voie à une indemnisation des familles.Le conseil d’administration de l’Inrae (Institut national de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement) a voté « à l’unanimité » une résolution faisant « le lien entre le développement de la maladie de Creutzfeldt-Jakob et les accidents du travail, par piqûre ou coupure avec du matériel contaminé », a annoncé le PDG Philippe Mauguin dans un message en interne consulté jeudi par l’AFP. « Cette résolution va permettre à l’institut une reconnaissance officielle et les mesures d’indemnisation des familles concernées », ajoute-t-il dans ce courriel envoyé la semaine dernière aux quelque 12 000 agents de l’établissement public.Une assistante ingénieur de 33 ans et un agent retraité sont morts, en 2019 et en 2021, après avoir contracté la maladie de Creutzfeldt-Jakob (MJC), maladie à prions plus connue sous le nom de « maladie de la vache folle », qui se caractérise par une dégénérescence rapide et fatale du système nerveux central.Les travaux suspendus. Rare, la MJC peut être d’origine sporadique (aléatoire), génétique ou infectieuse à la suite d’une contamination. L’assistante ingénieure s’était blessée au cours d’une expérimentation en 2010 ; une publication scientifique basée sur son cas avait conclu, en 2020, à un lien de causalité. Elle était décédée dans d’atroces souffrances après avoir contracté la maladie neuf ans plus tôt sut le site de Jouy-en-Josas (Yvelines). L’annonce du deuxième cas de MCJ, à l’été 2021, avait ensuite conduit l’Inrae et les autres établissements de recherche (Inserm, Anses, CNRS et CEA) à suspendre par précaution les manipulations sur les prions infectieux « le temps de faire la lumière sur les circonstances » des contaminations. Ces travaux reprendront « au cas par cas » dans les différents laboratoires, comme l’a préconisé la mission d’inspection conjointe diligentée par les ministères de la Recherche et de l’Agriculture, a-t-on précisé à l’Inrae. Dans son message, le PDG explique vouloir « assumer, en tant qu’employeur, le caractère probable de l’origine professionnelle de ces contaminations ».
La troisième grande rénovation du jardin royal, dont la construction s’est achevée en 1683, est en cours. Tandis que les lignes de palissage en fer forgé sont progressivement restaurées grâce au financement participatif, études et expérimentations se succèdent pour rendre les structures de ce site classé monument historique plus durables.La cagnotte a déjà dépassé les 67 000 euros. À Versailles, l’engouement pour le potager du Roi a permis de financer la restauration de quelques lignes de palissage sur les 68
Suivant une dynamique globale de développement de l’apprentissage dans la fonction publique, la direction générale à l’emploi et à la formation professionnelle (DGEFP) du ministère du Travail, de l’Emploi et de l’Insertion a développé une plate-forme destinée aux employeurs publics pour une dématérialisation totale des contrats.
Les derniers chiffres annoncés en novembre par le ministère de la Transformation et de la Fonction publiques faisaient état de 24 800 contrats d’apprentissage signés dans la fonction publique en 2021, contre 13 000 en 2016. Une progression certes fulgurante, mais qu’il convient encore d’intensifier, tant le retard pris en la matière est important. « Il est toujours essentiel de donner un vrai coup d’accélérateur en faveur de l’apprentissage, explique-t-on au sein du cabinet d’Amélie de Montchalin. La plate-forme s’inscrit dans un contexte dans lequel la ministre a affiché une vraie volonté de développer l’apprentissage dans la fonction publique et ainsi, de prendre pleinement part au dispositif « 1 jeune, 1 solution ». »
La crise ayant éprouvé « fortement notre jeunesse, l’État doit se montrer exemplaire et organiser la mobilisation de ses services et établissements publics pour développer significativement l’accueil d’apprentis et favoriser ainsi leur insertion professionnelle », soulignait également le Premier ministre, Jean Castex, dans une circulaire consacrée au sujet, publiée en mai 2021.
Dans cette perspective, après l’allocation de 500 euros versée à chaque maître d’apprentissage de la fonction publique d’État depuis janvier 2022 notamment, les contrats d’apprentissage deviennent accessibles sous forme dématérialisée. L’objectif affiché : répondre à leur complexité.
Concrètement, le nouvel espace désormais mis en ligne, mais toujours en cours de construction, permet aux employeurs publics et aux CFA de remplir et de télétransmettre leurs contrats aux services administratifs. Pour faciliter le travail des employeurs et inciter les embauches de jeunes en contrat d’apprentissage, plusieurs fonctions entendent simplifier la saisie et la transmission des documents. La plate-forme permet aussi de transmettre l’ensemble du dossier directement à la direction départementale en charge de l’emploi, du travail et des solidarités concernée.
Il est également possible d’inviter d’autres utilisateurs à renseigner un même contrat. Un fois les documents envoyés, la plate-forme prévoit la possibilité de suivre l’avancement de l’instruction du dossier et l’ensemble des contributeurs sera informé à chaque étape.
Rappelons que dans un rapport transmis au Parlement en novembre 2021 par la ministre de la Transformation et de la Fonction publiques, la lourdeur des démarches administratives avait été identifiée comme un frein à l’embauche d’apprentis dans la fonction publique. Pour autant, « ce système de dématérialisation est une voie supplémentaire, la voie traditionnelle est évidemment toujours possible », précise-t-on du côté du ministère.
Une série d’autres mesures sont également prévues pour lever les freins au développement de l’apprentissage dans la fonction publique d’État, comme un renforcement de la transparence et de la visibilité des offres ou encore une meilleure prise en charge des frais de transport et de restauration des apprentis. À noter également que, depuis janvier 2022, les apprentis peuvent bénéficier d’une prise en charge de leur complémentaire santé au même titre que les autres agents de l’État.
Pour rappel, la fonction publique d’État emploie 15 800 apprentis, la territoriale en compte 8 000, tandis que l’hospitalière en accueille 1 000.
https://acteurspublics.fr/articles/une-plate-forme-pour-alleger-les-lourdeurs-administratives-liees-a-lapprentissage
Vendredi 1er et samedi 2 avril, les étudiants en BTSA viticulture-œnologie du lycée de Rouffach organiseront la première édition de Voisins des vignes, une manifestation destinée à faire découvrir au grand public la vigne et ses métiers.
troisième tentative devrait être la bonne. Après une première annulation en raison du confinement en 2020, puis une seconde due à la fermeture temporaire du lycée agricole pour cause de crise sanitaire en 2021, « Voisins des vignes » aura bien lieu cette année, sauf incident de dernière minute.
Les étudiants de BTSA viticulture-oenologie ont en effet repris le flambeau afin d’organiser ce rendez-vous, proposé en partenariat avec l’AVA (Association des viticulteurs d’Alsace), la Chambre d’agriculture, le Syndicat viticole de Rouffach, ainsi que lycée et le Domaine de l’école. « Nous avons également obtenu le soutien financier de la Région Grand Est et du Crédit mutuel », précisent les élèves, qui mettent actuellement les bouchées doubles afin que tout soit prêt pour les 1er et 2 avril. Voisins des vignes a été imaginé comme une rencontre entre riverains des vignes et viticulteurs, « deux mondes qui cohabitent, et entre lesquels peuvent naître certaines incompréhensions », expliquent les organisateurs de la manifestation. « Lorsque les gens voient un pulvérisateur en action dans les vignes, ils peuvent prendre peur, mais souvent ils ignorent que ces produits sont homologués à 80 % pour leur sécurité et leur effet sur la santé, et à 20 % seulement pour leur efficacité ». Les étudiants soulignent également que le métier de viticulteur ne se résume pas qu’au traitement des vignes, mais compte également bien d’autres aspects souvent ignorés du grand public. Dans le détail, la manifestation aura lieu sur deux jours, dans les parcelles de vignes du Domaine de l’école, sachant que la journée de vendredi sera réservée au public scolaire, tandis que celle de samedi sera ouverte au grand public. Les visiteurs seront invités à se rendre sur place à pied, à partir du parking du collège Saint-Joseph, où ils seront guidés le long du parcours menant au site. Une petite promenade de 500 m (prévoir de bonnes chaussures) les mènera sur place, où seront disposés sept stands tenus par les étudiants, épaulés par une dizaine de professionnels, viticulteurs, conseillers et techniciens viticoles.
Différents thèmes seront abordés, une présentation de la vigne, du métier de viticulteur, la protection de la vigne, les alternatives, la mécanisation, les labels, et la biodiversité. « Il s’agit d’un parcours cohérent, qui permet de parler de beaucoup de choses, en particulier des maladies de la vigne, et pourquoi on les traite », expliquent les étudiants, en soulignant avoir présenté le fruit de leurs travaux à des représentants de l’AVA. Sur place, le public pourra remplir un questionnaire, avec un panier garni à gagner après un tirage au sort, pour ceux qui auront trouvé les bonnes réponses. Une buvette avec boissons et tartes flambées sera également proposée sur place, dont les bénéfices serviront à financer un voyage d’étude. À noter également, la musique municipale d’Ammerschwihr proposera une animation musicale, le samedi après-midi. Ce rendez-vous est bien sûr destiné aux riverains des parcelles de vignes, qui peuvent s’interroger sur certaines pratiques, mais il est aussi ouvert aux autres publics, en particulier les jeunes qui seraient intéressés par les métiers de la vigne ou les adultes intéressés par une reconversion », souligne pour sa part Jean-Luc Prost, directeur de l&rsquo EPLEFPA Les Sillons de Haute Alsace. « Et puis, c’est une expérience intéressante pour nos jeunes en BTS, qui les prépare à de nombreux aspects qu’ils auront à gérer plus tard dans l’exercice de leur métier, en particulier la communication avec le public.
Présidentielle 2022.Au lycée agricole du Fresne, à Sainte-Gemmes-sur-Loire près d’Angers (Maine-et-Loire), s’épanouit une jeunesse dont l’horizon ne se limite plus à la reprise de l’exploitation familiale.
À travers des ambitions très diverses, elle se montre particulièrement préoccupée par les enjeux climatiques. Au lycée du Fresne, près d’Angers, les rêves et les espoirs des jeunes ruraux
Le lycée d’enseignement général et technologique agricole du Fresne, à Sainte-Gemmes-sur-Loire, compte 800 élèves et propose des filières spécialisées dans l’horticulture, le paysage et l’environnement, l’agroalimentaire, le commerce et l’agriculture. « Eco Jardin », « refuges LPO » clament les plaques apposées à l’entrée du lycée du Fresne, à Sainte-Gemmes-sur-Loire, près d’Angers (Maine-et-Loire). Les établissements agricoles ne sont peut-être pas ceux que l’on croit. Ici, la jeunesse rurale n’est pas condamnée à la reprise de l’exploitation familiale, entre matinée de chasse, passion pour les tracteurs et culte du travail.
Yonval a inauguré son verger conservatoire. Un site qui valorise le patrimoine naturel sur lequel ont travaillé trois étudiantes du lycée agricole Baie de Somme.
Le but de ce verger conservatoire est doublement intéressant : « faire connaître aux habitants les fruits des arbres de la région. Sauvegarder et mettre en valeur le patrimoine naturel, favoriser la biodiversité comme avec l’hôtel à insectes, des nichoirs à mésanges… Ce verger servira également de support pédagogique pour les jeunes et les adultes avec des ateliers de taille, de greffe » explique le maire de Yonval.
Un site qui a été mis en valeur et développé par trois étudiantes du lycée agricole baie de Somme en 2e année de BTS DATR (Développement, animation des territoires ruraux). Des étudiantes qui n’ont pas ménagé leurs efforts. « Nous avons mis en place des panneaux informatifs, des ardoises explicatives au pied de chaque arbre et créé des bois avec des palettes fournies par des agriculteurs du village. » Cindy, Lucile et Justine qui précisent vouloir « travailler dans ce domaine à l’avenir » œuvrent sur ce projet depuis la rentrée de septembre et présenteront le fruit de leur travail en fin d’année scolaire pour l’obtention de leur diplôme.
https://actu.fr/hauts-de-france/yonval_80836/un-verger-conservatoire-a-pousse-pres-d-abbeville_49733143.html
Les jeunes entrepreneurs ont présenté leur mini-entreprise au nom évocateur : « Les porte-manteaux virois ». Cette classe du lycée agricole de Vire Normandie a tout pensé et conçu.
Depuis plusieurs semaines, les élèves de 4e du lycée agricole de Vire Normandie (Calvados) ont monté leur société « Les porte-manteaux virois ». Financement, fabrication, communication, ils doivent tout gérer de A à Z. 19 élèves font partie dans l’aventure. Avant de choisir le produit commercialisé, ils ont réalisé une étude de marché, estimé le coût de production et démarché des entreprises afin de trouver des partenaires. Aux yeux des professeurs, cette expérience ne permet pas seulement de découvrir les contraintes d’une entreprise, elle favorise aussi l’autonomie chez les élèves. Chacun s’organise. Ils sont épanouis. Nous avons un rôle d’accompagnement. Les élèves prennent l’habitude de parler devant les assemblées et voir l’autre côté du miroir. Cet esprit d’entreprendre les accompagnera aussi dans leur cursus scolaire. Christine Jacquelinprofesseur principale
Faits à base de palettes et de couverts, la jeune directrice de la mini-entreprise se nomme Alice Travert. « Les porte-manteaux que nous allons fabriquer sont réalisés avec des palettes qui sont recyclées et 200 couverts de Degrenne, notre partenaire », nous dit-elle. Les portes manteaux seront vendus 9 € ou 10 € avec gravure. « Ils sont fabriqués au lycée. Nous allons être présents avec un stand à la foire de Rouen le 31 mars où nous pourrons échanger avec d’autres professionnels et montrer notre savoir-faire ». Les bénéfices réalisés seront reversés pour 20 % à une association et 80 % pour la classe de 4e pour une sortie pédagogique.
Ce vendredi, les quinze élèves de terminale Bac pro forestier ont reçu un trophée pour les trois films qu’ils ont réalisés sur les métiers de sylviculteur, bûcheron et débardeur à cheval. Impressions en images des acteurs de cette remise de prix.
Le lycée agricole public CFPPA Reinach se fait remarquer en aménagement paysager. Luka Radici et Emeric Gauthier, deux apprentis en formation en BTSA Aménagements paysagers au CFPPA Reinach, à La Motte-Servolex ont reçu leur titre de « Meilleurs apprentis de France », lundi dernier. La cérémonie de remise des médailles d’or a eu lieu au Théâtre du Châtelet à Paris. Leur travail et leur passion du métier ont payé, ils ont mis à l’honneur le métier de paysagiste sur notre territoire. L’équipe pédagogique, ainsi que leurs maîtres d’apprentissage se voient récompensés pour leurs accompagnements et pour leur transmission.
Lors d’un tournoi, qui devait décider du titre de championnes départementales, les handballeuses du lycée agricole de Fontaines ont dominé leurs homologues du lycée Wittmer de Charolles (17 à 12). Outre le titre, les féminines fontenoises sont qualifiées pour les finales d’académie qui auront lieu dans quinze jours dans la Nièvre.
Les représentants de l’association Patrimoine Le Mans Ouest, les élus départementaux Nelly Heuzé, Samuel Guy et Didier Jahan, le directeur de l’Agrocampus La Germinière, les documentalistes du lycée et des élèves du Bac Technologique STAV (Sciences et Technologies de l’Agronomie et du Vivant) se sont réunis la semaine dernière autour de l’exposition mise en place dans l’établissement agricole. L’exposition « Au Fil du chanvre » retrace l’histoire d’une plante remarquable. Elle a été créée par l’association Patrimoine Le Mans Ouest et présentée au public à la Petite maison du patrimoine en 2021 au Mans et a en effet été mise à la disposition du lycée agricole et est installée au CDI depuis janvier jusqu’à la fin du trimestre.« Le sujet intéresse particulièrement les enseignants et élèves des filières agricoles portant sur l’aspect historique, patrimonial et agronomique de la plante et mettant aussi en avant une filière porteuse en matière d’isolation des bâtiments et d’agroalimentaire », précise Nelly Heuzé. Le directeur a salué ce partenariat que cette dernière, présidente de PLMO, a proposé de renouveler lorsque les sujets s’y prêteront
Verrouillée durant deux ans aux scolaires à cause de la crise sanitaire, la ferme pédagogique du Legta a rouvert ses portes aux plus jeunes. Sensibiliser et faire découvrir aux enfants les pratiques agricoles et la vie à la ferme. Tout un programme pour les lycéens du Legta qui ont participé dernièrement à un projet d’initiative et de communication (PIC) à destination des plus jeunes. En effet, quatre étudiants du lycée agricole de Pamiers en classe de BTS seconde année avec Lise, Hugo, Justine et Lisa sont intervenus auprès des élèves des classes de CE2 et CM1 de l’école primaire de Belpech. Plusieurs thématiques ont été abordées autour de nombreuses séances sur l’agroforesterie, le plan « Zéro phyto » et le bien-être animal, notamment. Le dernier temps fort s’articulait autour d’une visite pédagogique à la ferme école du Cabirol, sur l’exploitation du lycée agricole de Pamiers. Fermée au public scolaire venant de l’extérieur durant deux ans, à cause de la crise sanitaire, la ferme pédagogique a pu enfin rouvrir ses portes. Tout au long du parcours, une signalétique originale est en place avec flèches et pochoirs, ainsi que des panneaux d’information, avec boîtiers permettant d’éveiller les sens afin de mieux comprendre l’environnement et l’éveil de l’odorat.
C’est dans la vallée de la Soule, ou Xiberoa, en basque, la plus sauvage des trois provinces du Pays basque français, que les élèves de BTSA ACSE du lycée agricole de Figeac ont séjourné du 14 au 18 mars. C’est une région montagneuse de vallées escarpées et de forêts profondes, propices à l’élevage. Dans un premier temps, Nathalie Jaury, animatrice de l’association des commissions syndicales basques, et Jacques Hidondo, accompagnateur montagne, ont montré aux étudiants, le territoire de la vallée de la Soule au niveau agroécologique, économique, social et culturel. Ils ont ensuite découvert concrètement des systèmes d’élevages transhumants traditionnels liés aux estives basques grâce à la visite de deux élevages de brebis laitières de Basco béarnaise et de Manech Tête noire, des races locales et rustiques. Ces deux visites leur ont permis de comprendre la filière AOP Ossau Iraty. Ils ont aussi découvert la filière AOP Porc Kintoa lors de la visite d’une autre exploitation. Afin de bien s’imprégner de ce territoire, les étudiants ont pu randonner dans des zones élevées de cols ou crêtes utilisées par les éleveurs transhumants.
Dans le cadre du projet académique autour de la filière Cacao, les élèves du LPA du Robert ont imaginé et conçu différents produits transformés. Des douceurs chocolatées mais aussi des cosmétiques qu’ils ont présentés dernièrement.Les 12 élèves de seconde ABIL (Alimentation Bio Industrie de Laboratoire) concernés par ce projet ont d’abord visité plusieurs exploitations agricoles.
Depuis un mois, de futurs professionnels de l’aménagement paysager mènent un chantier bénévole au collège Freyssinet d’Objat, en Corrèze. Ces étudiants du lycée Brive-Voutezac installent des nichoirs, un mur fleuri et une classe extérieure dans la cour. Certes, le collège d’Objat, en Corrèze, porte le nom du père du béton précontraint. Mais, en 2022, les enseignants et les collégiens du collège Eugène-Freyssinet avaient, comme tout le monde, besoin d’un peu de verdure. Pour la deuxième année consécutive, l’établissement accueille donc un groupe d’étudiants en BTS du lycée de Brive-Voutezac.
Au total 33 élèves dont 3 jeunes du CRM « centre de rééducation motrice » de Reims travaillent à la réalisation d’un spectacle de cirque sur le thème de l’eau. L’Europe de la culture et de l’écologie, c’est une réalité pour le lycée agricole de Rethel, pilote d’un projet Erasmus+ qui rassemble des jeunes Espagnols, Portugais et Français. Au total 33 élèves dont 3 jeunes du CRM « centre de rééducation motrice » de Reims travaillent à la réalisation d’un spectacle de cirque sur le thème de l’eau. Avec l’appui du metteur en scène André Mandarino et de la chorégraphe Sibille Planques ils découvrent la force du spectacle vivant pour délivrer un message sur l’importance de la ressource en eau et la nécessité de la préserver pour les générations futures. Le spectacle sera présenté au Manège de Reims (Scène Nationale) entrée gratuite. Réservations au 07.78.68.20.03 ou via eau.erasmus22@gmail.com
La classe de 1ére Technicien Conseil Vente du Lycée Agricole Adriana s’est livrée à un atelier d’écriture organisé par Béatrice Marchandise et Filip Forgeau, avec l’aide de partenaires comme La Région Occitanie et la Cie Éphémère.
Durant une semaine, les élèves ont écrit des textes sur les thèmes du secret (monologue, dialogue, lettre, textes poétiques,…). Le but étant de s’ouvrir aux autres, parler à l’oral, se dévoiler et prouver que tout le monde est capable d’écrire en affirmant sa différence, sa singularité, son univers tout ça dans le respect, l’écoute et le partage.
Parallèlement à ce travail d’écriture, les élèves ont rencontré une photographe, Cécile Flahaut qui a
travaillé avec eux sur la réalisation d’un autoportrait ceci a été une source d’interprétation pour les textes. Cécile Flahaut également comédienne dans la Compagnie Éphémère qui a présenté le spectacle « Petit Enfer » au sein de l’établissement.
Les élèves du lycée Mancy de Lons-le-Saunier organiserons un Equi Challenge.
Au lycée Mancy de Lons-le-Saunier, ce sont les élèves de Seconde menant au Bac pro Conduite et Gestion de l’Entreprise Hippique qui portent le projet Equi Challenge, sous la conduite de leurs enseignants. Nina Gasté, l’une des élèves explique : « ce sera à la fois sportif et ludique et une belle rencontre avec d’autres établissements, après cette période vécue repliée sur nous-mêmes ».
Dix épreuves différentes« Nous aurons 12 équipes de quatre élèves de lycées ayant une option Hippologie-Equitation. Ils auront dix épreuves différentes à effectuer », précisent Nina, Nathan et Adèle, rejoints par Lola Nigra. Ils constituent en quelque sorte le « noyau dur » de cette organisation en équipe projet menée par les élèves de la classe.Dressage, toilettage, concours de saut d’obstacles, maniabilité, travail à la longe et même épreuve surprise, en constituent les principaux tests. En plus de cette classe de seconde découvrant ainsi un projet de vraie entreprise d’évènementiel, d’autres structures du lycée seront impliquées pour le jour J puisque « le centre hippique va mettre à la disposition des participants une cinquantaine de chevaux, mais aussi au plan technique nos moniteurs d’équitation en formation, chaque équipe n’étant pas forcément accompagnée par un enseignant de la filière hippique » précise Pierre Mirande, professeur au Centre hippique du lycée.