RESUME : la présente note de service est une instruction relative à l’orientation et au recrutement des élèves et des apprentis dans les établissements d’enseignement agricole et au déploiement du Service en Ligne Affectation (ex TSA) pour l’année 2022. Cette note annuelle relative à la campagne 2022 abroge la note de service DGER/SDPFE/2021-86 du 3 février 2021. Cette note revient sur toutes les procédures réglementaires pour l’orientation et le recrutement des élèves issus des établissements scolaires agricoles ou souhaitant y accéder.
RESUME : les apprenants préparant un certificat d’aptitude professionnel agricole, un baccalauréat général, technologique, professionnel ou un brevet de technicien supérieur agricole désireux d’effectuer une mobilité individuelle en européenne ou internationale d’une durée de 28 jours consécutifs minimum peuvent bénéficier d’une aide de la DGER d’un montant modulable par le DRAAF DAAF de 120 à 1000€. Cette modulation des aides est opérée en prenant en compte, notamment, le coût total de la mobilité et l’existence d’autres sources de financement. Une bonification au montant maximum de l’aide pourra être attribuée si l’apprenant a recours à un mode de mobilité dite douce.
RESUME : la loi du 5 septembre 2018 a considérablement modifié la gouvernance et le financement de la formation professionnelle, en particulier pour la voie de formation par apprentissage. Dans ce nouveau contexte, le rapprochement des activités de formation professionnelle continue et d’apprentissage au sein d’un EPLEFPA peut constituer une opportunité pour évoluer dans le nouveau contexte de la formation professionnelle. Si réglementairement il n’est pas possible de fusionner les centres constitutifs CFA et CFPPA il est d’ores et déjà envisageable de conduire des actions de rapprochement. La présente instruction technique présente les différentes actions envisageables à l’échelle d’un EPLEFPA qui souhaiterait opérer un tel rapprochement.
MOTIF DE LA RECTIFICATION : Modification d’éléments sur les pages 16 à 18 (le texte modifié est surligné en jaune) LIEN VERS L’INSTRUCTION RECTIFIEE : DGER/SDPFE/2021-709
Le cross de Grignon se tiendra ce dimanche 20 mars sur le campus d’AgroParisTech à Thiverval-Grignon (Yvelines). Le dernier sur le site de Grignon avant le déménagement de l’école. L’école AgroParisTech va déménager fin juin
Cette édition sera particulière puisque ce sera la dernière sur le site de Grignon. L’école d’ingénieurs spécialisée en agronomie et biologie va en effet quitter le campus en juin pour rejoindre Saclay (Essonne) à la rentrée prochaine.
Voilà un chantier qui a duré trois jours dans l’enceinte du Lycée agricole. Une quarantaine de lycéens de l’établissement, 1re Sapat (services aux personnes et aux territoires), Terminale CGFA (conduite et gestion de l’exploitation agricole, technique de vente animalière), encadrés par leurs professeurs, ont découvert l’art et la manière d’imaginer et de fabriquer des objets et décors de toutes sortes à partir de matériaux récoltés lors de plusieurs visites au sein de l’ancienne usine de tuileries, à Blajan.
Le lycée professionnel agricole de Mirande accueillait hier mercredi le 1er salon mettant en relation fournisseurs et personnels des cantines.
Hier mercredi, le 1er salon Occit’Alim se déroulait au lycée agricole de Mirande. Ce projet a été lancé par la Région en 2020, pour lever les freins à l’approvisionnement local et bio, qui doit atteindre 75 % en 2026, dans les cantines des lycées. Principale difficulté pour les établissements, la rédaction des marchés publics, complexe. Occit’Alim se charge de sourcer les fournisseurs régionaux, tout en identifiant les plus proches des lycées. L’organisme se charge également de rédiger les marchés publics. Du clef en main pour les lycées, qui n’ont qu’à adhérer gratuitement à la centrale sur Internet et à ses 1 600 produits.
Dans le cadre de la prévention des addictions, les élèves des classes de collège, les classes de Seconde et une classe de Première du lycée agricole Piere Paul Riquet de Castelnaudary ont reçu la visite des gendarmes référentes « prévention scolaire » en cette semaine de retour de vacances.Sur deux demi-journées, les classes ciblées ont pu entendre les discours de prévention liés à la cybercriminalité et aux risques des réseaux sociaux. Bien entendu, le but n’était pas de diaboliser ce moyen de communication « indispensable » aux jeunes ados que sont les élèves de l’Agri Campus, mais bien de les mettre en garde contre les abus, les risques, les dangers cachés et la « pseudo-protection » des écrans en comparaison du monde « réel ».En effet, l’utilisation des réseaux sociaux, les diffusions de photos de leur vie privée peuvent avoir des conséquences à très long terme, et les interventions de cette semaine étaient surtout des mises en garde de l’existant, des risques encourus, pour eux victimes mais aussi, éventuellement pour eux « agresseurs », notamment en termes de harcèlement en ligne.
Après trois ans d’interruption en raison de la crise sanitaire, une battue à blanc – en fait, un comptage – de lièvres et de perdrix grises, a regroupé des chasseurs du secteur et des élèves du lycée agricole de Quétigny sur les parcelles de la ferme expérimentale de Tart le Bas du dit lycée
Pour Laurent Gouttebaron, directeur de Beaune Viti Agro Campus, les portes ouvertes de l’établissement permettent de « renseigner les familles, rencontrer l’équipe et finaliser un projet ou choisir une orientation ». Samedi dernier, de nombreux visiteurs se sont déplacés pour découvrir la pluralité des formations initiales et continues proposées. C’est le cas de Marius, 14 ans, qui est venu avec ses parents pour affiner son projet de bac pro vigne et vin en apprentissage
Les élèves du lycée d’enseignement général des techniques agricoles se sont lancés dans la bande dessinée. Ils ont pour projet de mettre en scène leur région en dessin.
Un projet à l’initiative d’un groupe d’étudiants de BTS du lycée agricole.
Le calendrier est connu pour le chantier du futur lycée maritime, en remplacement de l’actuel bâtiment implanté au Portel. Détaillé en séance plénière du Conseil régional ce jeudi, il pourrait ouvrir en 2026.
Dans le cadre du projet gouvernemental Les Cordées de la réussite (*), trois étudiants de l’école d’ingénieurs de Purpan (Haute-Garonne), anciens du lycée agricole local, ont apporté leur témoignage aux lycéens et à une dizaine de collégiens de Saint-Florent-sur-Cher, vendredi dernier, au lycée. Les étudiants ont parlé de leur quotidien avec enthousiasme. Les collégiens ont été surpris par la richesse des activités extrascolaires proposées, mais un peu dubitatifs devant le prix de la formation (6.550 euros par an). Les lycéens qui souhaitent se diriger vers une formation d’ingénieur agronome ont été intéressés par les différents parcours. Le but est de susciter l’ambition scolaire des élèves par un continuum d’accompagnement de la classe de 4 e au lycée, voire jusqu’à l’enseignement supérieur.
Dans le cadre de leur Projet initiative et communication (PIC), les étudiants de BTS ACSE du Centre de formation des apprentis CFA du lycée agricole d’Ahun ont choisi de s’intéresser à un projet « agroécologique » concernant les huiles agricoles usagées. Les trois étudiants – Lucas Tourand, Jean Olkowsy et Benjamin Gerbaud – ont décidé de collecter des huiles agricoles usagées auprès des agriculteurs du secteur d’Ahun. Les étudiants ont contacté une quinzaine d’exploitants, ainsi que l’organisme chargé de faire la collecte des huiles et d’en assurer le recyclage. Ils ont organisé la collecte qui s’est déroulée le jeudi 17 mars sur le parking du gymnase du lycée agricole, avec remise de récépissés aux agriculteurs attestant la démarche du recyclage. La quantité d’huiles usagées collectées est de 4.800 litres. Un projet d’actualité qui démontre l’intérêt que portent les étudiants en agriculture à la thématique de l’environnement.
Le comité de jumelage de Neuvy-Czernichów organisait une soirée théâtrale dans l’amphithéâtre du Lycée agricole du Bourbonnais, à Neuvy. La troupe Théâtre sans façon interprétait la pièce Les Copines, de Pierre Chesnot. C’est dans une salle comble que le comité a tenue à remercier les acteurs amateurs qui ont offert une très jolie prestation. L’intégralité des bénéfices de cette sympathique soirée, ainsi que ceux de la représentation au théâtre de Moulins, a été reversée au profit de l’Association franco-polonaise. C’était, pour Lilian Mognot, fondatrice de la troupe et metteure en scène, son ultime représentation. Le monde local, témoin de son parcours artistique, est partagé entre le sentiment de tristesse de la voir quitter les planches et une grande reconnaissance pour ce qu’elle a fait et apporté pour le bassin moulinois. Le directeur du Lycée agricole a été remercié pour son accueil et l’association des élèves a tenu la buvette dont elle a gardé les bénéfices. À noter que l’établissement accueillera une autre pièce de théâtre, celle de la troupe du Hérisson (Beaulon) qui jouera Le Prénom , samedi 9 avril, à 20 heures.
Depuis plusieurs années, les familles réclamaient justice pour leurs proches décédés de la maladie de Creutzfeldt-Jakob (la maladie de la vache folle) après avoir manipulé des agents pathogènes.Cela pourrait signifier la fin d’un calvaire de près de dix ans. L’Inrae a reconnu que ses deux salariées décédées de la maladie de Creutzfeldt-Jakob, en 2019 et 2021, avaient probablement été contaminées par accident de laboratoire de recherche sur les prions (agents pathogènes), ouvrant ainsi la voie à une indemnisation des familles.Le conseil d’administration de l’Inrae (Institut national de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement) a voté « à l’unanimité » une résolution faisant « le lien entre le développement de la maladie de Creutzfeldt-Jakob et les accidents du travail, par piqûre ou coupure avec du matériel contaminé », a annoncé le PDG Philippe Mauguin dans un message en interne consulté jeudi par l’AFP. « Cette résolution va permettre à l’institut une reconnaissance officielle et les mesures d’indemnisation des familles concernées », ajoute-t-il dans ce courriel envoyé la semaine dernière aux quelque 12 000 agents de l’établissement public.Une assistante ingénieur de 33 ans et un agent retraité sont morts, en 2019 et en 2021, après avoir contracté la maladie de Creutzfeldt-Jakob (MJC), maladie à prions plus connue sous le nom de « maladie de la vache folle », qui se caractérise par une dégénérescence rapide et fatale du système nerveux central.Les travaux suspendus. Rare, la MJC peut être d’origine sporadique (aléatoire), génétique ou infectieuse à la suite d’une contamination. L’assistante ingénieure s’était blessée au cours d’une expérimentation en 2010 ; une publication scientifique basée sur son cas avait conclu, en 2020, à un lien de causalité. Elle était décédée dans d’atroces souffrances après avoir contracté la maladie neuf ans plus tôt sut le site de Jouy-en-Josas (Yvelines).L’annonce du deuxième cas de MCJ, à l’été 2021, avait ensuite conduit l’Inrae et les autres établissements de recherche (Inserm, Anses, CNRS et CEA) à suspendre par précaution les manipulations sur les prions infectieux « le temps de faire la lumière sur les circonstances » des contaminations. Ces travaux reprendront « au cas par cas » dans les différents laboratoires, comme l’a préconisé la mission d’inspection conjointe diligentée par les ministères de la Recherche et de l’Agriculture, a-t-on précisé à l’Inrae. Dans son message, le PDG explique vouloir « assumer, en tant qu’employeur, le caractère probable de l’origine professionnelle de ces contaminations ».
Dans le cadre de la semaine de l’emploi maritime, organisée par Pôle Emploi, l’Interprofession du Port de Concarneau a mis en place trois jours d’informations sur les métiers de l’industrie navale.Ils sont une vingtaine d’élèves devant le stand des formations, qui a été dressé sur le quai des pétroliers. Ils écoutent Sophie Tostivint, professeur au lycée professionnel maritime du Guilvinec. Elle est venue leur parler de sa spécialité : la mécanique marine. Comme les autres métiers de l’industrie navale, la mécanique marine n’est pas très connue chez les jeunes. Pourtant, elle a des arguments pour les attirer. Les salaires sont corrects, un emploi attend les jeunes à la sortie de la formation et les conditions d’exercice sont variées : la mécanique marine peut se pratiquer sur un bateau de pêche, sur un navire commercial ou bien à terre.
Une section sportive rugby est en projet au lycée Le Gros Chêne, à Pontivy. Jade Ulutule, joueuse de l’équipe de France et du Stade Rennais Rugby, a été à la rencontre des élèves ce vendredi 18 mars.
« C’est le point de départ symbolique de la mise en place d’une section sportive rugby à Pontivy. On espère en voir la première promotion en septembre 2023 », annonçait, vendredi 18 mars, Philippe Morant, directeur administratif de la Ligue de Bretagne de rugby. C’est lui qui a organisé lui visite de Jade Ulutule avec Éric Guillermic, conseiller municipal à Pontivy, dans le but de créer une section sportive rugby au lycée Le Gros Chêne. « C’est un bonheur de pouvoir réunir des lycéens et la capitaine de l’Équipe de France vice-championne olympique 2021 et unique double internationale française en rugby à XV et à 7, que ce soit en équipes masculines ou féminines », soulignent les deux hommes.
Cinq élèves du lycée agricole de Crézancy sont lauréats du Trophée International de l’Agriculture et du Trophée Erasmus. Le lycée d’Enseignement Général et Technologique Agricole et viticole de Crézancy est fier de ses élèves. Lors de la finale du Trophée International de l’Enseignement Agricole (TIEA), cinq lycéens se sont hissés sur la première marche du podium dans la 2e catégorie : celle des vaches laitières au terme de deux épreuves tenues sur le ring et bien sûr devant le nombreux public du Salon de l’Agriculture. Léna Gonçalves, Pauline Neckebroeck, Hugo Hénault, Louis Simon et Alexis Haetjens n‘oublieront pas cette semaine sur place. Ces cinq élèves étaient sur le pont dès 5 h et jusqu’à tard le soir : traite, douche, nettoyage de la stabulation, alimentation de Jackie, animations, jeux sans oublier l‘accueil des visiteurs dont de nombreux parents et élus locaux et nationaux, tout cela entrecoupé d’épreuves.
Erasmus : Les élèves ont aussi reçu, le trophée Erasmus + qui récompense les meilleures actions de coopération internationales et la qualité de la prestation en langue étrangère sur le ring. Un volet important qui devrait pouvoir revenir en 2023. Suite à l‘obtention de ce trophée Erasmus + de l‘agriculture, le lundi 14 mars, à l‘invitation du député Jacques Krabal, secrétaire général de l’Assemblée parlementaire de la Francophonie (APF), deux élèves ont participé à l‘événement du lycéen européen de Villers-Cotterêts sur le thème de la charte de l‘élève francophone au programme des jeunes ambassadeurs francophones.
Il faut que le candidat Macron tire les enseignements du bilan du président Macron. Forte de ses 23 syndicats, notre organisation s'attache à donner la parole à l'ensemble de ces différentes catégories de personnels. Plus de 25 000 collègues ont [...]
