Intersyndicale Protocole partie 2. Le SEA-UNSA vous tient informé.es
Publié le mardi 23 février 2021Cette méthodologie d’envoi de documents à amender sans retour de l’administration n’est pas acceptable dans le cadre de négociations aussi importantes sur le fonctionnement des CFA et CFPPA
Il n’est pas question de travailler sur un projet de note de service. A défaut du décret que nous revendiquons, nous avions obtenu, a minima, un engagement de M. Tronco et M. Vinçon d’une circulaire ministérielle et l’ex-ministre Guillaume avait approuvé.
Par ailleurs nous avions également obtenu que soit ajouté dans la circulaire ministérielle les 3 conditions portées dans le préambule de la partie 2 de 98 à savoir:
– l’harmonisation des conditions d’emploi de tous les personnels de l’EPLEFPA
– ne pas imposer de conditions moins favorables
– à qualification et fonction identiques, les mêmes conditions d’embauche et d’emploi y compris pour les nouveaux contrats.
Nous demandions également qu’une échéance dans le temps soit fixée pour l’application du protocole. (le terme de raisonnable n’étant pas assez contraint).
En l’état actuel des choses nous n’amendons pas les documents transmis (Fiche 1 et Fiche 2). Il est en effet impératif pour nous d’aborder les fiches missions conjointement aux conditions de travail des personnels qui n’apparaissent nulle part dans votre programmation.
Concernant ces premières fiches, la fiche mission pour formateur est un véritable « fourre tout » visant à considérer les formateurs comme des administratifs. Une entrée par métier nous semble plus pertinente : formateur, coordonnateur, chargé d’ingénierie, animateur qualité, animateur de CDR #8230;
L’approche de la DGER semble méconnaître le coeur de métier d’un formateur qui pour 90% d’entre eux assurent des cours.
CGT Agri SEA UNSA SNETAP-FSU FO AE
Thierry Jacob Nathalie Clerbout Geneviève Laurenson Christian Lasarroques
Philippe Duffaut Didier Fleury Laurence Dautraix Christine Heuzè